Avec le consensus sur les conséquences du changement climatique, celui qu’on observe, celui qu’on prévoit dans les années futures, on pourrait penser que, comme Trump a disparu, les climatosceptiques eux aussi ont disparu.
Mais, non, ils bougent encore.
Une raison (de plus) de ne pas baisser la garde et de continuer à diffuser largement dans la population une connaissance fine sur la réalité de la tragédie qui a commencé.
Les activistes entendent « y’en a marre de vos prédictions apocalyptiques, donnez-nous des bonnes nouvelles », ou « parlez-nous des solutions pour s’en sortir ».
Nous sommes comme en 1938 au retour de Munich : les français et les anglais acclament leurs responsables politiques qui les rassurent : « Hitler veut la paix ».
Il est impossible de rassurer complètement la population. Il faut faire comprendre qu’il y a danger, qu’il faut bouger.
Et avec les faits que nous observons, les mesures et les prévisions des scientifiques, montrons l’inanité des discours climatosceptiques dont on s’étonnera qu’ils circulent encore, comme celui-ci : https://www.climato-realistes.fr/, où l’on pourra voir qu’exhiber sa qualité de polytechnicien ne suffit pas pour se parer de qualités…